Fig. 6. Rendement d’excitation des différents niveaux de CO2 et N2 en fonction de l’énergie des electrons de la décharge. Dans les faits, les rendements observés ne se rapprochent de ces valeurs que dans des circonstances favorables, généralement à basse température. On a ainsi atteint 24% dans un laser à CO2 (6) à température ambiante. Dans les lasers à CO, des rendements de 63% ont été obtenus vers 65 °K (7), mais le rendement tombe très vite lorsque la température augmente, repassant à quelques % vers 300 °K. D’autre part un intérêt essentiel de ces lasers est que leur taille ne semble pas limitée, à condition d’assurer, par une circulation suffisamment rapide (au travers d’un échangeur), le refroidissement du gaz échauffé par la décharge.
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